Amoureux de l'image

Des terres rouges de l'Aveyron aux pierres blanches bordelaises, en passant par les pavés parisiens, voici comment tout a débuté !

A L’ORIGINE : LE BACKGROUND, LES CREATEURS

La co-fondatrice : Marie.

Née dans les hautes terres d’Aveyron, elle migre à Toulouse où elle étudie les arts appliqués. Puis elle enchaîne avec la photographie. Elle monte à Paris et se lance dans le grand bain. Elle travaille dans la presse musicale, sur des tournages, puis dans la mode où elle remportera le 1er prix du Fine Art photography Award, sera finaliste du prix Picto de la Jeune photographie de Mode et de la Bourse du talent… Elle rencontre Sébastien.

 
 

Le co-fondateur : Sébastien.

Né à Toulouse, il migre à différents endroits de France et de Belgique, touche un peu à tout, et atterrit finalement à Paris. Il se lance dans la vidéo et travaille dans la mode et le corporate. Auteur / musicien à ses heures perdues… Il rencontre Marie.

 
 
Break temporel. Huit mois en Australie.

Et au retour, Wild Sparrow voit le jour.

 
 

AVANT WILD STORIES < WILD SPARROW

Duo photo / vidéo spécialisé dans les mariages de 2013 à 2019, Wild Sparrow est le premier projet commun des créateurs de Wild Stories. C’est là que la petite graine de Wild Stories est semée. Marie propose un studio photo lors des prestations. Un fond, des accessoires, et un appareil + flash de studio déclenchés par les invités à l’aide d’une télécommande. Les prémices, donc… Jusqu’à ce que…

Good bye Paris, hello Bordeaux !

 

WILD STORIES : LA REFLEXION

C’est en voyant arriver les premières bornes photo lors des mariages en France que Marie et Sébastien décident de fabriquer la leur. En effet dans le paysage, quelque chose manque. Ils ne trouvent pas le photobooth de leur rêve.

« Nous voulions créér le photobooth que nous aurions aimé avoir, et qui n’existait pas encore ! » Marie.

Ils posent quatre critères pour cela : un design sans concession (1), avec des matériaux nobles tels que le bois et le laiton (2), des photos de qualité (3), et un pilier RSE primordial (4). L’objectif est clair : ne ressembler à personne d’autre, sinon à soi-même. La baseline coule de source : Fun et remarquable !

Nous sommes fin 2016. Ils passent une année à écrire le projet de Wild Stories, à prendre des contacts, à lancer les fondations. Ce qui n’était à la base qu’une idée destinée à enrichir leur offre de prestation mariage devient un projet à part entière.

« L’idée première était de créer un photobooth design, qui ne dénaturerait pas les décors des événements mais s’y fondrait avec classe. » Sébastien.

« Quel que soit le type d’événement, quand toute la déco est choisie avec soin, avec goût, le photobooth doit être à la hauteur de cela, tant esthétiquement que qualitativement. C’est ce qui nous a dirigé vers la création d’un objet haut de gamme ». Marie.

En priorité, Wild Stories est alors pensé en tant que marque « Made in France », travaillant avec des acteurs locaux. Le maillage humain constitue la clef de voûte du projet.

 

LE LANCEMENT > PREMIERE BORNE PHOTO

A Bordeaux, ils collaborent avec les designers passionnés de Woodlabo, et la première Wild Box voit le jour. Elle s’inspire des anciennes chambres photographiques. En parallèle, ils dénichent une caravane et la transforme en espace photobooth, avec un véritable décor personnalisable, clin d’œil à leur voyage en Australie. Enfin, en avril 2017, Wild Stories est officiellement lancé !

Marie et Sébastien basent alors leur activité à Darwin écosystème, lieu alternatif incontournable de Bordeaux.

« C’était l’endroit idéal. On y retrouvait les valeurs écologiques et humaines qui nous sont chères et nous étions très heureux d’être là… Même si nous n’avions qu’un petit bureau au milieu du co-working ! » Marie.

Six mois plus tard, ils quittent Darwin pour leur premier local. L’activité prend de plus en plus de temps et d’énergie et ils se lancent à corps perdus dans l’aventure.

 

RECONNAISSABLE ENTRE MILLE

Wild Stories fonde son identité sur le design de ses produits, sur la qualité de l’expérience client et des visuels de ses photobooths, mais aussi sur son rapport à la nature et aux arts en général.

« C’est sans doute une des choses qui nous différencient… A notre connaissance, avant la création de Wild Stories, il n’y avait pas de société de photobooth fondée par des professionnels de l’image en France. Notre background fait que nous apportons un point de vue plus artistique à notre activité avec une mise en avant de précieux savoir-faire. Nous faisons les choses différemment parce que nous sommes guidés par une logique différente. » Sébastien.

« Nous ne puisons pas notre inspiration chez les autres entreprises de photobooth, mais dans l’art, la photo, les films, la peinture, les arts numériques… Et surtout nous nous entourons de personnes qui sont dans le même esprit que nous ». Marie.

Les premiers shootings photo de la Wild Box se font en pleine nature, l’identité visuelle est lancée et cohérente avec la personnalité de l’entreprise. Protégé au niveau international, le design des bornes photo est unique et ne se trouve nulle part ailleurs.

LE DEVELOPPEMENT: ETRE UNIQUE

« Nous nous sommes toujours dit que notre développement serait fait de manière raisonnée. Nous faisons avant tout les choses par plaisir et par passion et nous ne brûlons pas les étapes ». Sébastien

Suite à l’offre particulier, Wild Stories développe logiquement son offre avec les entreprises et participera ainsi plus tard avec ses photobooths aux 100 ans de Spritz à la rotonde Stalingrad, à la sortie de la 3ème saison de Stranger Things (Netflix) au Grand Rex avec les acteurs de la série… Au cabaret Madame Arthur à Pigalle ainsi que sur des festivals (Rock en Seine, la fête de l’humanité, etc). L’une des Wild Box entrera en résidence dans l’émission Quotidien de Yann Barthez, pour photographier les invités avant leur entrée sur le plateau.

L’entreprise poursuit dans son esprit d’authenticité et fait appel à des artistes et des professionnels soigneusement sélectionnés pour leur savoir faire, afin de créer des fonds qui ne se faisaient pas auparavant, tels que des fonds photos en papier découpé.

ECOLOGIE, ENGAGEMENT SOCIAL, L’IMPORTANCE DES VALEURS

Wild Stories a été créé autour de valeurs fondatrices. A l’origine, pour Marie et Sébastien, il était logique que leurs questionnements en tant qu’individu se retrouvent dans leur entreprise. C’est pourquoi chaque décision passe par le filtre de ces valeurs. L’aspect RSE est ainsi présent dès le départ, à la source du projet.

« A chaque fois que l’on doit faire quelque chose de nouveau, on se demande : est-ce qu’on va faire ceci ou cela pour de bonnes raisons? Quel est le sens ? Et c’est exactement la même chose pour les autres prestataires avec qui l’on travaille. On sélectionne en fonction de leur cohérence avec nos valeurs. » Marie.

« Bien sûr, on se questionne en tant qu’individus sur notre façon de vivre et l’impact de notre activité, mais ce n’est pas nouveau. Ma formation de base, c’est un BTS en Gestion et protection de l’environnement… Ça me suit partout ! Et Marie a mis en scène la tragédie du plastique dans les océans à travers sa série photo les eaux superficielles il y a déjà plusieurs années » Sébastien.

Wild Stories crée ses machines en série limitées, elles sont éco-conçues. L’entreprise adhére également au programme Reforest’Action et plante plus de 200 arbres entre 2018 et 2020, puis, dans l’optique de prendre part à un mouvement se rapprochant davantage de ses engagements, devient membre de 1% pour la planète en 2021. En parallèle, Wild Stories développe ses partenariats sur des événements œuvrant pour des causes environnementales et sociétales : la course Run for Planet, La Caserne, Le Conscious Festival, le Nouvel an solidaire de Darwin, etc.

PELE MELE DES SOUVENIRS DE LA GENESE

La bande son des débuts ?

Le groupe Beirut ! Nous l’avons beaucoup écouté pendant la période de réflexion et nous sommes toujours aussi fans !

Une image forte de la première année ?

La file interminable de gens qui faisaient la queue pour se prendre en photo à la Wild Box, sur le salon des Instapreneurs au carreau du Temple. Elle allait jusqu’au dehors et les gens pensaient que c’était la queue pour entrer dans le salon !

Une anecdote sur la genèse ?

Nous avons retapé la caravane dans un chalet en bois, près du lac de Biscarosse, en passant par le site Home Exchange, site d’échange de maison:) C’était le mois de novembre, il faisait froid, c’était un chalet plutôt destiné à la période estivale, donc sans chauffage, et on se caillait sévère !

Un moment délicat ?

Le premier créneau avec la caravane. No comment.

Wild Stories… Et si c’était à refaire ?

On le refait chaque jour avec plaisir 🙂